Ces zones existent, les évènements récents sont là pour nous le rappeler. Le dire permettrait à chacun d’en prendre conscience ; en dresser la carte répondrait courageusement au droit de savoir de chaque citoyen de ce pays où sa sécurité n’est pas assurée. La responsabilité de cette information serait un acte fort qui engagerait le soutien de la population sur la stratégie menée pour rétablir l’état de droit dans les zones de grande criminalité.
Lire et signer la pétition lancée par le réseau LHC qui sera remise au Ministre de l’Intérieur pour demander la publication des zones de non droit.